La Voleuse (1985-1986) « est une série de dix tableaux de tendresse. En effet, pour la première fois, je suis parti non pas d’une chose d’actualité du quotidien mais d’un rêve que j’avais fait. En gros, c’était une petite fille et moi, nous volions dans des bijouteries et nous fuyions et jamais nous n’étions rattrapés […] ». À chaque tournant de sa vie, Monory éprouve le besoin de faire un film : dans La Voleuse en cinéma, son héroïne est sa femme Paule. Film et peintures citent son film préféré, Gun Crazy de Joseph H. Lewis.