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          • Publié le 20/09/2024
          • Par Équipe Médiation
          • [ZOOM SUR] l'exposition « Henri Cartier-Bresson »

          • Focus sur la section 10 de l'exposition « Henri Cartier-Bresson » : Partition de l'Inde
          • Village de Sayan, Bali, Indonésie, 1949 © Henri Cartier-Bresson - © Magnum Photos
          • Village de Sayan, Bali, Indonésie, 1949 © Henri Cartier-Bresson - © Magnum Photos

            Partition de l’Inde

            En 1949, Cartier‑Bresson est à Bali pour photographier les danses traditionnelles. Il est accompagné de sa femme, Carolina Jeanne de Souza‑Ijke, une danseuse traditionnelle indonésienne de très haut niveau qui, sous le nom de Ratna Mohini, se produit sur les scènes de New York, Londres ou Paris. Quelques années plus tard, en 1954, Cartier‑Bresson publie aux éditions Robert Delpire Danses à Bali, le recueil des photographies réalisées à cette occasion. Le livre est introduit par un essai d’Antonin Artaud, dans lequel l’écrivain compare les danseurs balinais à des « hiéroglyphes animés […] qui vivent et se meuvent ». Cette idée est au cœur des photographies prises par Cartier‑Bresson à Bali, mais aussi de beaucoup d’autres images de cette époque. Il a compris que la chorégraphie était une écriture. Pour lui, le corps est un signe que le mouvement transforme en langage. C’est cette forme d’expression qu’il cherche à fixer dans ses photographies.

            Partition of India

            In 1949, Cartier‑Bresson was in Bali taking photographs of traditional dances. He was accompanied by his wife, Carolina Jeanne de Souza‑Ijke, a very accomplished Indonesian traditional dancer who, under the name Ratna Mohini, performed on the stages of New York, London and Paris. A few years later in 1954, Cartier‑Bresson published with Robert Delpire Editions, Danses à Bali (Danses in Bali), the collection of photographs he took there. The book opens with an essay by Antonin Artaud, in which the author compares the Balinese dancers to “animated hieroglyphs […] that live and move”. This idea is at the heart of the photographs taken by Cartier‑Bresson in Bali but also of many other images of that period. He has grasped that choreography is a form of writing. For him the body is a sign that movement transforms into language. It’s that form of expression he tries to capture in his photographs.

             

            Pour en savoir plus, rendez-vous dans l'exposition Henri Cartier-Bresson jusqu'au 05 janvier 2025, au Fonds Hélène & Édouard Leclerc.
            Commissariat : Clément Chéroux.
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