« Je m’aperçois qu’à force de peindre, je suis devenu peintre, j’aime la peinture... Ni la peinture pour la peinture, ni la peinture voulant devenir folle de réalisme photographique. Je crois que c’est la vibration qui m’intéresse, c’est le tremblement de la pensée devant l’image. »
« Les inspirations » rassemblent des tableaux des années 1960-1970 qui traitent d’histoires personnelles ou artistiques.
Monory dialogue avec ses artistes de prédilection – Dürer, Hopper, Manet – peint ses proches, ses ami/e/s, son chien, le tigre du Jardin des Plantes.
Les Mesures mettent en scène des éléments récurrents : les femmes, les paysages inhabités, la mer, les oiseaux, les voitures, les inscriptions…
Un voyage à New York en 1969 et un road-trip entrepris avec son fils Antoine en 1973 à travers les US ancrent une passion pour l’Amérique qui lui inspire des œuvres majeures.