« L’œuvre d’art doit être comme un crime parfait. »
Le film Ex- et huit Meurtres témoignent d’une séparation. L’idée de série est systématisée, la part autobiographique et la temporalité affirmées, les éléments de rêve, de transposition, de catharsis mis en scène. Le rapport à la photographie et au cinéma est établi : par l’emploi des couleurs (le bleu de la nuit américaine), les formats (l’horizontalité, l’écran, les planches contact), l’arrêt sur image. Les miroirs introduisent le spectateur dans le tableau (« Il apparaît comme victime ou devient assassin. »)