1. Parce que c’est la première exposition d’envergure consacrée à Hartung dans le Grand Ouest français, comme ce fut déjà le cas au FHEL pour Miró (2013), Dubuffet (2014) ou Giacometti (2015).
Photo N.Savale © Fondation Hartung-Bergman, Antibes © Adagp, 2016 © FHEL, 2016
2. Parce qu’on y découvre des œuvres encore inédites, tel le tableau intitulé T1983-E41
Hans Hartung, T1983-E41, 1983 © Fondation Hartung-Bergman, Antibes © Adagp, 2016 © FHEL, 2016
3. Parce qu’elle nous montre le travail d’Hans Hartung… mais pas que ! Son œuvre entre en résonance avec celles d’autres artistes comme Georges Mathieu, Simon Hantaï, Cy Twombly ou encore Christopher Wool.
Georges Mathieu, [Sans Titre], 1951 © Fondation Gandur pour l'Art, Genève, Suisse © Adagp, 2016 © FHEL, 2016. Photo Sandra Pointet
4. Parce qu’elle remet sur le devant de la scène le lyrisme, concept souvent associé aux seules années 1950.
Hans Hartung, T1982-K49, 1982 © Fondation Hartung-Bergman, Antibes © Adagp, 2016 © FHEL, 2016
5. Parce que c’est la première exposition de peinture abstraite présentée au FHEL, après des expositions figuratives consacrées à Fromanger, Monory, Mattoti, Chagall…
Vue de l'exposition Gérard Fromanger © FHEL 2012
6. Parce qu’une équipe de médiateurs est présente dans la salle d’exposition pour échanger avec les visiteurs. Des visites commentées sont également proposées tous les jours.
Katell, médiatrice au FHEL, en visite de l'exposition "Hartung et les peintres lyriques" © FHEL 2016
7. Parce que des visites sont organisées pour les enfants, afin de partager un moment en famille. Ils sont invités à créer une œuvre « à la manière d’Hartung », après une visite de l’exposition.
Atelier de pratiques - exposition "Hartung et les peintres lyriques" © FHEL 2017
8. Parce que la boutique nous permet d’assouvir notre curiosité. On y découvre, entre autres, Autoportrait, un recueil d’entretiens avec Hartung.
La boutique du FHEL - exposition "Hartung et les peintres lyriques" © FHEL 2017
9. Parce qu’elle nous donne l’occasion de (re)découvrir le site de l’ancien couvent des Capucins de Landerneau, devenu lieu d’exposition en 2012.
Vue du Fonds Leclerc ©FHEL, 2016 Photo Studio Dirou
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